7.11.11

Salons et cafés littéraires se succèdent



Après le café littéraire du 15 octobre, Gisèle Meunier a présenté ses ouvrages à Brétigny sur Orge, puis au salon du livre de Saint Parres aux Tertres (10) et elle sera à Paris samedi 12 novembre à 15 h à la Maison du Délice (11 bis av. Traversière) M° Gare de Lyon, avant de retrouver ses lecteurs à Ozoir la Ferrière le samedi 19 novembre. Elle sera également présente au salon de Chambourcy (78) le 20/11, à La Ferté sous Jouarre le 26/11, à Mennecy (91) les 10 & 11 décembre, ainsi que sur les marchés de Noël d'Ecrennes (77) le 27/11, de Gretz (77) le 3/12 et de Pontcarré (77) les 18 & 19 décembre. Vous y êtes invités à faire dédicacer ses ouvrages pour vous-mêmes ou pour offrir. Un livre dédicacé par l'auteur... UN CADEAU ORIGINAL ET PERSONNALISE !

8.9.11

Ecrivain Gis�le Meunier: CAFES LITTERAIRES 15 octobre à Ozoir


Ecrivain Gis�le Meunier: CAFES LITTERAIRES

CAFES LITTERAIRES


Après avoir présenté son dernier roman dans des cafés littéraires à Paris (Association des Écrivains de langue Française et Rencontres Européennes-Europoésie) Gisèle Meunier présentera Les ENFANTS de SENEPO à Ozoir la Ferrière (77) le samedi 15 octobre à 15 heures, puis à Brétigny sur Orge (91)le vendredi 4 novembre 2011 à 20 heures.
Elle sera présente sur de nombreux salons du livre, en région parisienne, dans l'Yonne, et dans l'Aube.
programme des salons sur le site de l'association Lire, écrire, conter : http://associationlireecrireconter.blogspot.com et http://www.gisele-meunier.com

16.5.11

Remise de prix La lettre à Colette

Lecture de remerciements et hommage à Colette et à "Eugène petit Bourguignon" enfants parcourant les mêmes terres.
Chers amis,
C'est avec beaucoup d'émotion et de joie que je reçois ce prix pour ma lettre à Colette. Peut-être cela peut-il paraître banal, un concours de nouvelles, ou de lettres...
Je pense que ceux qui ont vraiment à cœur de créer de beaux textes, d'apporter quelque chose de nouveau à la littérature me comprendront.
Ici, il me fait particulièrement plaisir pour de multiples raisons :
- Tout d'abord j'aime beaucoup Colette et son écriture et il m'a été agréable de jouer à lui écrire.
- De plus le thème de la maison est un sujet que j'apprécie, et en particulier celle de l'enfance où les racines sont ancrées. Je l'exprime d'ailleurs dans mon texte.
- Et puis, même si je ne suis pas née ici, sur ces terres de Puisaye, j'y ai pourtant des attaches sentimentales. Ceux qui ont lu mon roman "Eugène petit Bourguignon" ont pu retrouver les couleurs, les coutumes, et ce monde du 19e siècle. J'ai réalisé que Eugène, mon grand-père avait été contemporain de Colette, avec une dizaine d'années de moins, et qu'ils avaient vécu leur enfance à moins de dix kilomètres l'un de l'autre. Je me dis que mon grand-père a bien dû s'inspirer des mêmes lieux, des mêmes odeurs, de la même nature et qu'il m'a transmis tout cela.
Il me parlait de son pays lorsque j'étais petite fille, mais cela me paraissait si loin à l'époque. Et même s'il m'a parlé de Colette, alors qu'elle est décédée peu de temps après ma naissance, je n'avais pas conscience malheureusement de ce qu'il m'apportait.
Enfin, il y a juste un an, le 7 mai, j'ai reçu un coup de téléphone d'une journaliste de France Bleue Auxerre, pour m'annoncer que j'avais été retenue parmi d'autres femmes qui écrivaient sur la Bourgogne, et qu'elle préparait une émission sur les femmes écrivains de l'Yonne.
Vous imaginez ma fierté et ma joie lorsqu'elle me dit en riant que ces femmes l'étaient au même titre que Colette. Il y avait de quoi être flattée et je n'en perdais pourtant pas l'idée que jamais je ne rivaliserais avec elle.
Je considère avec ce prix, qu'elle me renvoie l'ascenseur. Et voila pourquoi cette distinction me rend particulièrement heureuse, et me remplit d'émotion.
Je remercie le jury et toutes les personnes qui permettent de continuer à faire vivre cette grande dame, et de transmettre ainsi son œuvre de siècle en siècle. Car c'est en parlant de ceux qui nous ont quittés que nous les faisons vivre. C'est ce que j'ai vraiment ressenti lorsque j'ai eu en main mon roman "Eugène petit Bourguignon". Mon grand-père n'était pas mort. Je le ramenais à la vie.

Merci à tous.

12.5.11

à la rencontre de Colette

Dimanche 15 Mai 2011, Gisèle Meunier dédicacera à nouveau son roman "Eugène petit Bourguignon" réédité en 2010, à Saint-Sauveur en Puisaye. L'auteur, qui avait été nommée parmi les femmes écrivains de l'Yonne en 2010, serait heureuse de vous rencontrer et de vous lire sa lettre à Colette, présentée lors du concours 2011. L'éventail des sujets qu'elle traite dans ses romans, vous offrira tous les choix pour nourrir votre plaisir de lire.
Elle sera de même présente à Sens le 22 mai, à Tonnerre le 5 juin et vous parlera avec passion de son nouveau roman : "Les enfants de Sénépo".
Les Parisiens pourront la retrouver à Paris au restaurant "La maison des délices" 11 bis rue Traversière Paris 12 le 28 mai à 15 h, pour une rencontre littéraire autour de cette nouveauté.

30.3.11

Ecrivain Gis�le Meunier: Catalogue Ouvrages Gis�le Meunier-Picquet

Ecrivain Gis�le Meunier: Catalogue Ouvrages Gis�le Meunier-Picquet

Catalogue Ouvrages Gisèle Meunier-Picquet


BON DE COMMANDE
Nom et Prénom :
N° Rue :
Code Postal : Ville :
Téléphone :
Courriel :
Si vous souhaitez une dédicace de l’auteur, précisez le prénom ou le nom du destinataire :

PRIX Quantité TOTAL
LES ENFANTS DE SENEPO (2011) 18,00 E
SOUS LE MASQUE DE L’AMOUR (2009)15 €
BAOBABS (réédition 2010) 15,00 €
Des ANIMAUX et des HOMMES (2004) 7,90 €
EUGENE, PETIT BOURGUIGNON (2006)16,00 €
ECRIRE SON HISTOIRE DE VIE (2007)12,50 €
PARLEZ MOI D’AMOUR 2008) 9 €
HUMEURS (Poésies) 2008) 9 €

Participation aux frais d’envoi + 3€/livre
_____________________________________________
TOTAL = ------------------------------------------
Ci-joint chèque de : Euros à l'ordre de Gisèle Meunier

6.3.11

Ecrivain Gis�le Meunier: Les enfants de S�n�po

Ecrivain Gis�le Meunier: Les enfants de S�n�po

Les enfants de Sénépo


La naissance de ce nouveau roman Les Enfants de Sénépo est prévue le 15 mars aux éditions Sépia dans la collection du Parc. Le baptême est prévu le samedi 19 mars 2011 en grande pompe au salon du livre de Paris, en compagnie de sa génitrice qui se fera un plaisir de vous le dédicacer.
Vous y trouverez des enfants dans leur quotidien incertain, leurs bonheurs et leurs malheurs conditionnés par leur environnement familial et social. Les adultes ne sont pas en reste. Peut-être penserez-vous qu'il s'agit d'une suite de Baobabs, paru en 2004 et réédité en 2010. Dans ce nouveau roman le ton est différent... Surprenant ! Les enfants, d'où qu'ils soient nous étonneront toujours. Ils vous apprendront le sens de la vie, la force de survivre, et entre deux larmes d'émotion, vous feront sourire. Eux savent ce que le mot espoir veut dire.

170 pages 18 euros + 2,50 frais de port (en vente aussi chez l'auteur qui vous le dédicacera: 65 av Ed Gourdon 77330 Ozoir la Ferrière)

Les enfants de Sénépo

La naissance de Les enfants de Sénépo est prévue pour le 15 mars 2011 aux éditions Sépia, dans la collection du Parc, et son baptême aura lieu en grande pompe dès le samedi 19 mars à Paris à l'occasion du salon du livre. Bien prétentieux déjà, non ? Soyez certains que le monde de ces enfants ne vous laissera pas indifférents. On pourrait y trouver une suite à Baobabs (publié en 2004 et réédité en 2010). Le ton de ce nouveau roman est pourtant bien différent. C'est le quotidien et l'entourage d'un monde dont on parle peu. Et pourtant, comme tous les enfants du monde, ils vous étonneront, vous apprendront le sens de la vie, et même, entre deux larmes d'émotion, vous feront rire. Enfin, après la lecture de ce roman, vous ne pourrez plus dire que vous ne saviez pas...

Un sujet qui ne vous laissera pas indifférent ! Des enfants dans une ville imaginaire, dans un pays bien réel en Afrique. Vous découvrirez d’autres contrées, d’autres mœurs, d’autres misères que celles qui vous entourent.
Âmes sensibles, ne pas s’abstenir ! Des rires et des larmes, de l’émotion et de la réflexion… Oui, il s’agit bien d’un quotidien tel que l’on peut le rencontrer dans de nombreux endroits du monde, ou plutôt dans le Moyen Âge du 3e millénaire.
Extraits : Il commence à se faire tard. Le ciel s’assombrit. Nadine ne veut pas tarder, craignant de s’égarer dans les rues anonymes de Sénépo. C’est alors que se glisse un petit, une boite à la main. Comme tous les soirs, il vient tel un animal nocturne, chercher sa pitance. Elle le reconnaît. Elle l’a vu l’autre jour, se faire rabrouer par un blanc qui voulait le prendre en photo. Elle porte la honte que l’individu devrait avoir d’humilier un si faible être humain. Elle lui propose de le raccompagner. L’enfant refuse, semblant craindre des représailles. Nadine se rend-elle compte que sa visite à la daara pourrait réveiller les consciences. Elle
insiste voulant le protéger. Il risque tant de se faire détrousser de son maigre dîner. Et s’il rentre sans rien, gare à la trique !
La mère de Fatou intervient avec douceur pour expliquer à Nadine qu’il est préférable pour l’enfant de le laisser rentrer seul.
***…….
Le commissaire continue de raconter : « Saint-Louis n'est pas la seule ville d'où des jeunes embarquent dans des pirogues après s'être financièrement saignés. Les départs se font aussi beaucoup des faubourgs de la capitale, où des gilets de sauvetage déchiquetés ont récemment été découverts sur la plage. Mais aussi plus bas, sur la «petite côte ». À Joal justement, alors que le port était, en cette fin de journée, en pleine effervescence, les pêcheurs revenaient avec des
caisses entières de poulpes, de mulets, de capitaines, de barracudas.
C'est de là qu'un drame s'est noué il y a quelques mois. Une pirogue
partie de ce port avec plus de cent clandestins à son bord a été
retrouvée plusieurs semaines plus tard au large du Brésil. Ils se sont
perdus. Ils étaient tous morts quand les gardes-côtes les ont
repêchés.»
Décidément loquace, il continue. « Tout aussi terrible. J'ai un ami qui
me racontait que son frère a tenté le coup. Le passeur les a fait
naviguer pendant trois jours et trois nuits – durée possible pour
rejoindre les Canaries, si tout va bien – puis il leur a montré la côte.
«C'est là ! Regardez les lumières des grands hôtels ! leur a-t-il dit.
Bienvenus en Europe ! »
Il ne peut s'empêcher de sourire. «Surexcités malgré leur fatigue, les
passagers ont rejoint la côte, contents de toucher terre. Mais ils se
sont rapidement étonnés de voir autant de Noirs, souligne-t-il en
mimant la scène, les yeux exorbités devant un attroupement de
pêcheurs. Ils ont fini par comprendre que le passeur les avait bernés

170 pages 18 euros + frais de port (en vente aussi chez l'auteur qui vous le dédicacera)

10.2.11

Ecrivain, ou l'art de la Patience

Rares sont les écrivains qui demandent à un éditeur d'être patient. Mais incalculable est le nombre d'éditeurs à rabrouer, remercier gentiment ou, enfin ! faire patienter un auteur pour lui annoncer "Oui" "Non"... On joue avec ses nerfs. On lui fait perdre patience. Pourtant l'auteur qui a perfectionné son texte, qui l'a peaufiné, qui l'a présenté comme le chef-d'œuvre de son existence, se doit de ne pas hâter celui qui restera le seul et dernier juge sur la publication ou non de son roman. Voila où j'en suis depuis le 24 avril 2010, espoir, déception, entretiens, encouragements reçus par de grands et sincères professionnels du métier. Oui, une grande éditrice vraiment sincère et qui m'a invitée à venir la rencontrer, mais tellement désolée de ne plus être maîtresse dans sa propre maison d'édition. "Comprenez-vous, tout est une question commerciale, maintenant" pour m'expliquer que le secteur éditorial vit une grave crise. Malgré tout je ne me résigne pas. Persévérer, aller voir ailleurs, envisager de m'autoéditer, jusqu'au jour où un coup de fil inattendu sonne.
Et là vous vous retrouvez à devoir faire un choix. Pour la publication prochaine de "les enfants de Sénépo" (à vous de patienter maintenant la sortie de "les enfants de Sénépo"

23.1.11

Paix pour le peuple ivoirien


Attention de ne pas faire le jeu des marchands d'armes qui n'attendent peut-être qu'une étincelle pour allumer le feu. Qui en pâtira ? Le peuple bien sûr, ceux dont on ne parle jamais, qui souffrent toujours de la faim, du malheur, de l'injustice, de la violence permanente. Il y a déjà assez de conflits dans le monde. NON. Il faut se donner le temps d'aboutir à une solution pacifique. Pensons aux femmes, aux enfants, à tous les malheureux qui sont toujours les premiers touchés. Nous sortons de cette période de "fêtes" où nous célébrions la naissance du Christ. C'est avant tout un message de paix que Noël représente et non seulement pour nous-mêmes et nos proches, mais et surtout pour tous les peuples dans le monde, les déshérités et les trop faibles pour se défendre. Gisèle Meunier, écrivain. Ozoir la Ferrière 77 France 4 janvier 2011