À travers un espace indéterminé.
Lors d’une période où l’oisiveté reste la seule activité
Au bord d’une mer calme ou au spectacle d’un torrent agité.
Derrière sa fenêtre, le regard dans son jardin.
Sur le carré des vaches ou au-dessus des nuages.
De jour, en plein soleil ou sous une fraîche averse.
De nuit, au clair de lune ou dans une sombre forêt.
L’esprit s’envole, rêvasse, s’extasie, erre, chemine… Songes, chimères, fantasmes, rêveries… d’une voyageuse solitaire.
Gisèle Meunier, romancière et nouvelliste, est aussi poète. Après Humeurs, elle signe ici son deuxième recueil de poésies La tête dans les nuages.
Si la nature, les voyages, les rencontres, les événements de la vie lui inspirent ces pensées éphémères, elle n’en garde pas moins les pieds sur terre dans ses activités de créations littéraires activités de créations littéraires ou au sein de l’association Lire, écrire, conter qu’elle préside et anime depuis 2007.
édité par l'ALEC, 35 poésies 74 pages 11 Euros,