Rares sont les écrivains qui demandent à un éditeur d'être patient. Mais incalculable est le nombre d'éditeurs à rabrouer, remercier gentiment ou, enfin ! faire patienter un auteur pour lui annoncer "Oui" "Non"... On joue avec ses nerfs. On lui fait perdre patience. Pourtant l'auteur qui a perfectionné son texte, qui l'a peaufiné, qui l'a présenté comme le chef-d'œuvre de son existence, se doit de ne pas hâter celui qui restera le seul et dernier juge sur la publication ou non de son roman. Voila où j'en suis depuis le 24 avril 2010, espoir, déception, entretiens, encouragements reçus par de grands et sincères professionnels du métier. Oui, une grande éditrice vraiment sincère et qui m'a invitée à venir la rencontrer, mais tellement désolée de ne plus être maîtresse dans sa propre maison d'édition. "Comprenez-vous, tout est une question commerciale, maintenant" pour m'expliquer que le secteur éditorial vit une grave crise. Malgré tout je ne me résigne pas. Persévérer, aller voir ailleurs, envisager de m'autoéditer, jusqu'au jour où un coup de fil inattendu sonne.
Et là vous vous retrouvez à devoir faire un choix. Pour la publication prochaine de "les enfants de Sénépo" (à vous de patienter maintenant la sortie de "les enfants de Sénépo"
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire